mercredi 17 mai 2017

17 mai 2017: pour la fierté LGBTI

Des années 80 aux années 2000, les droits pour les LGBTI ont été améliorés sur une bonne partie du globe:

Le 27 juillet 1982, en France, le gouvernement de François Mitterand parvient à faire voter une des promesses du nouveau président: la dépénalisation de l'homosexualité. C'était le régime de Vichy, avec Pétain, qui a voulu sanctionner la sexualité gay par des amendes et/ou de la prison.

 
discours du 20 décembre 1981 à l'Assemblée Nationale


Le 17 mai 1990, l'Organisation Mondiale de la Santé (branche de l'ONU) retirait l'homosexualité de la liste des troubles mentaux.
Depuis 12 ans, 60 pays dans le monde célèbrent IDAHO (International Day Against Homophobia ans Transphobia).

Cet élan égalitaire et respectueux des droits de chacun individu est terminé. Oui, TERMINE!
Dans beaucoup de pays (ou parties de pays pour ceux qui sont séquencés en états), l'austérité reprend le dessus et fait reculer les libertés. A ce jour, la dernière et épouvantable actualité du genre est la lutte acharnée du gouvernement Tchétchène contre les gays. Il veut les éradiquer de son pays. Il veut tous les tuer. Le président de cet état de la Fédération de Russie a demandé aux familles tchétchènes de tuer leurs enfants homosexuels. Il a fait ouvrir des camps de concentration pour les homos. Des camps, sérieux!!!! Comme les nazis en Europe.
Imagine qu'on fasse la chasse à ceux qui utilisent la sexualité pour autre chose que pour la procréation!!!! Alors tous ceux qui trainent sur Tinder ou Adopte et qui baisent juste pour tirer un coup, en prison! Ceux qui pratiquent la fellation et le cunilingus, électrocutés! Ceux qui prennent du plaisir à la sodomie, jetés par la fenêtre de l'immeuble! Je ne te parle même pas de ceux qui calent un doigt ou pire: ceux qui font des plans à plusieurs!!
Pense à ta vie sexuelle. Que tu fais chez toi, tranquille, avec les portes fermées, sans demander l'avis de tes voisins et sans les emmerder. Et là, ces mêmes voisins, ou tes parents, ton frère, ta soeur, des cousins, viennent te chercher et t'envoient dans un camp de concentration ou te lapident eux-mêmes. Juste parce que tu as eu un plaisir sexuel qui n'était pas destiné à faire un enfant.
Et bien, aujourd'hui, c'est un peu que vivent les gays en Tchétchénie. Ils ne peuvent plus faire ce qu'ils veulent de leur bite et de leur cul tranquillement chez eux. Ça leur est interdit sous peine de mort. Et Poutine, "président", pour ne pas dire dictateur (c'est surement une question de mois), laisse faire sans broncher. Il fait juste une espèce de mascarade en envoyant une homophobe pour "vérifier" les "rumeurs" sur les camps de concentration et les tortures.

 

Aujourd'hui, plus que jamais, les droits de l'Homme (de tous, pas que les droits des hétéros) doivent être défendus

Certains de ces pays (comme la Fédération de Russie et les Etats Unis) ont des lois différentes pour chaque état. Les droits LGBTI sont bafoués dans plusieurs d'entre eux.
 

jeudi 21 janvier 2016

Quand Joan, la mère de Drake Wilson s'occupe de son coming-out


Houston est une ville où il fait bon vivre. La mixité y est importante. Tout le monde y a sa place.
Mais tout le monde, ça veut dire autant ceux qui sont ouverts d'esprit que ceux qui ne le sont pas.
Ainsi, en novembre 2015, une ordonnance était présentée au vote pour lutter contre la discrimination de la communauté LGBT. Mais une majorité des électeurs a refusé cette proposition de loi.
Comme une réponse à ce barrage raciste, Joan Winston a fait publier un article sur le coming-out de son fils, Drake, de 16 ans. A la suite, Drake a également diffusé une vidéo sur Youtube.



dimanche 10 janvier 2016

Parce que..... c'était toi et moi


"Parce que tu es là depuis deux mois
Parce que tu m'as sauvé la vie
Parce que tu m'as redonné goût à la vie
Parce que tu vas manquer
Je t'aime comme beaucoup d'autres à ma façon"


Parce que nous avons vécu l'intensité 
Parce que nous avons vécu la douceur
Parce que nous avons vécu la franchise
Parce que nous avons vécu le plaisir
Parce que nous avons vécu brièvement beaucoup d'autres choses... 


samedi 18 juillet 2015

mercredi 29 août 2012

Il y a des jours...

Il y a les journées pour travailler et les soirées et les nuits pour sortir et vivre.

lundi 16 janvier 2012

Free

2012, je suis libre. 
Libre de tant de choses que je ne saurais pas par où commencer ni finir la liste.


vendredi 1 juillet 2011

Sous un ciel étoilé

La gorge nouée.
Les yeux chargés.
Le coeur serré.

J'ai encore fait du mal.
J'ai voulu y croire.
Mais je n'en ai pas la force.

J'ai envie de e serrer dans mes bras, d'être ton meilleur ami.
Mais je sais que ça ne ferait qu'amplifier ta douleur. Alors je resterai le plus silencieux possible.

J'ai trop peu de souvenirs matériels. Je me force donc à repenser à chaque moment passé avec toi, sous un ciel étoilé.


vendredi 18 mars 2011

Dernier soir


Je sens comme un vide ce soir en remplissant les derniers cartons. Demain, je quitte cet appartement. J'y aurais vécu trois ans.

Tant de choses se sont passées depuis ces trois années. Le doute, le rire, la fête, les pleurs, l'amour...

En arrivant, je croulais sous les cartons entassés les uns sur les autres. Cela ne m'a pas empêché d'attirer un maniaque et de le garder (un peu).

Je me suis laissé envahir aussi. Parfois par une seule personne avec une tonne de robes et de perruques, parfois par beaucoup pour des soirées ou des semaines.

Il y a eu cet été où tout le monde est venu dans cet appartement. Je ne savais même plus qui avait les clefs. Qui se connaissait, s'était rencontré ou non. Les matelas et les couvertures couvraient le sol.

Il y a eu cet période de folie totale entre les sorties 7/7 jusqu'au bout de la nuit et les looks déjantés avec tous les accessoires possibles.

J'y ai eu plusieurs amants. Je garde une pensée pour chacun. Je les aime tous (ou presque).

Les clefs de cet appartement sont passées dans toutes les mains. Parce que j'ai confiance en eux.


Ce soir est mon dernier ici. Seul. C'est étrange. Je me souviens de mon précédent déménagement. J'avais passé la soirée avec mes deux mecs qui m'avaient aidé à terminer les ultimes cartons. Nous avions terminé tous les trois au restaurant à 1 heure du matin. Cette soirée est différente. Je la passe seul. Loin de ma famille. Loin de celui a qui j'ai de l'amour à donner. Loin d'un ami (c'est la crise).

Alors je pense à tout ça. Et me demande déjà comment sera la vie dans ce prochain appartement. Que m'apportera ce dernier? Qui vais-je rencontrer? Comment y sera le climat?.......



jeudi 9 décembre 2010

Câlins en attente

Parce que je me pose trop de questions.
Parce qu'elles sont à ton sujet, au mien, au notre.
Parce que j'ai envie de mieux te connaitre.
Parce que j'ai envie de partager beaucoup plus avec toi.
Parce que j'ai envie de te voir rire.
Parce que je veux voir ton visage s'épanouir lorsque nous nous retrouvons.
Parce qu'il nous a fallu des mois avant de nous rencontrer.
Parce que ce fut un weekend au-delà de toutes mes espérances.
Parce qu'il est difficile aujourd'hui de savoir quelle direction prendre.
Parce qu'il faudrait que les deux soient d'accord pour ce choix.
Parce que je parle de toi. Oui, souvent. A mes amis, chez moi.
Parce que je raconte l'amant merveilleux que j'ai connu.
Parce que je raconte le jeune homme bouleversant que j'ai rencontré.
Parce que je parle de mes impressions, de mes sentiments, de mon désir de recommencer. Vite!
Parce que je me demande parfois si nous ne devrions pas nous autoriser.
Parce que nous pourrions nous laisser aller.
Parce que nous pourrions faire le trajet chacun notre tour.
Parce que les histoires à distances existent déjà.
Parce que j'en ai très envie, mais n'ose jamais.
Parce qu'il serait trop bête de passer à côté.
Parce que j'ai envie de t'aimer, une nuit, une semaine, un an, une vie...
Parce que tu es fantastique.
Parce que je veux te faire encore et encore des câlins...


mercredi 14 juillet 2010

Besoins et dépendances

Est-ce du besoin ou de la dépendance.
Ou peut-être un peu les deux.
Comme un éternel besoin de satisfaire les autres qui en devient une dépendance.
Dans tous mes contacts, c'est le plaisir de l'autre que je guetterai à chaque instant.
Ma satisfaction vient de celle que je lis dans le regard qui me fait face.

Tout plaisir est plaisir quand il nous est apporté plutôt que quand on doit le prendre. Il perdrait alors de sa grandeur. De le voir apporté sur un plateau est déjà un petit bonheur. LA finalité en est plus grande encore.
C'est cela qu'il me plait d'apporter autour de moi.

Mais dans quel but?
Il est évident que j'en attends quelque chose. Mais quoi? est-ce juste la joie qui se lit dans les yeux ou un retour à venir.... Et quel retour?
A ce moment le plaisir apporté devient-il un besoin? Un besoin qui voudrait provoquer son retour.

Certaines questions deviennent alors évidentes à la suite....
Quel retour attends-je?
De qui?
Comment?
A quelle intensité?
Sur quelle durée?
..........

lundi 17 mai 2010

vendredi 16 avril 2010

Programme

Programme chargé en ce moment.

Si les cendres islandaises veulent bien passer leur chemin afin de me laisser le loisir d'atterrir à Paris lundi, je pourrais retrouver mon Loïc. Et mardi, je serais présent au shooting avec Delphine Chanéac.

La semaine suivante, je prévois d'aller voir le petit Raph'hic O_o à Montpellier (oui, il m'arrive également de trouver son nom assez particulier). Je n'avais fais que m'arrêter à Montpellier sur ma route entre Nice et Bordeaux. Le petit étudiant me fera découvrir un peu mieux la ville dans laquelle il s'est égaré depuis septembre.

Deux semaines de répit avant de reprendre la route et de retrouver mon Bordeaux natal. Je serais en compagnie de Muriel. Il faudra que je lui en mette plein la vue, à la fillotte! Je vais lui faire découvrir tous les repères.....

Je continuerai mes déplacements par Paris à nouveau. Mais pas pour le boulot: pour la Gay-Pride!!!! Avec Ludo, entre autres... Une nuit de folie nous attend...!

Vient ensuite le temps des vacances. Des GRANDES vacances! J'ai hâte, c'est énorme. Je crois qu'il ne passe pas une journée sans que je n'y pense. Je commencerai par 24h à Rome. J'ai tout à y découvrir. là, mon chéri me rejoint. Nous décollerons alors pour les Seychelles. Chez Nico!!!!!!!!!!!!!!!!!

En août,.... ben rien pour le moment. Mais il faudra que je sois en forme avec les visites à venir de ma chatte (qui va me squatter l'appart), Solange, Loïc,....

J'adore avoir une myriade de projets. J'ai déjà l'impression d'y être!

Mégatop

Ce dimanche, le 18, c'est la Mégatop. Et pas n'importe laquelle. Nous fêterons le premier anniversaire de la soirée!

Alors, bien sûr, nous serons tous de la partie! Evidemment...

La Mégatop, une soirée avec toujours ses ballons aux couleurs du Rainbow flag et ses transformistes qui animent pour nous la nuit entière.

Un concept qui réussi très bien à Max et Charlotte. Et qui, je le souhaite, leur réussira encore très longtemps.

Nous serons présent pour ce premier anniversaire ainsi que pour tous les suivants!!!!!!



lundi 5 avril 2010

Maudit parc

A croire que le parc Alsace-Lorraine est maudit.

La semaine dernière, deux garçons se faisaient agresser pour s'être embrassés dans ledit parc devant des enfants qui jouaient et une mère de famille très mécontente de cela.

Aujourd'hui, c'est un ami qui a retrouvé sa voiture vandalisée alors qu'elle était garée sur un côté du même parc. Pâques ou non, rien ne s'arrête et surtout pas la méchanceté gratuite.

vendredi 19 mars 2010

Une larme perle sur ma joue.

Je veux courir sur cette immense Dune. Ma Dune.

Je veux aller facilement sur un île. Puis une autre.

Je veux faire l'amour sur le sable fin puis entouré de miroir afin de te voir sous tous les angles.

Je veux voir défiler les pins sur mon vélo.
Je veux partager mon lit et mon appart comme je ne l'ai jamais fait.

Je veux tout et surtout beaucoup plus.



Je pense à toi tout bas
Je parle de toi si fort.

mercredi 3 février 2010

mercredi 22 avril 2009

Une histoire d'après Nicolas... (1)

C'était au sauna...

Un superbe mec, la trentaine, musclé, de magnifiques abdominaux, à peine plus petit que moi, me fait face. Il a la peau claire légèrement métissée, les os épais, les traits carrés, avec une bouche pulpeuse qui laisse réveur.

Je le regarde avec insistance. Il me suit jusqu'à la cabine du sauna.
Direct, nous nous caressons. J'embrasse ses lèvres généreuses. Mes mains tremblantes parcourent son corps musclé. L'intimidation m'empêche d'avoir une érection.En parcourant sa peau, ma main effleure son sexe. Je me rends compte qu'il est énorme: long, épais... La pression monte. Ca m'excite autant que ça me fait peur...Je n'ose pas encore descendre ma bouche plus bas que son ventre dessiné par la musculature. Il m'embrasse dans le cou. C'est à ce moment que mon sexe se raffermi. Mon étalon, couvert de fines goutelettes d'eau, vient à vérifier l'état de mon pénis. Il prend alors ma main afin de la poser sur le sien. A vu de doigts, je pense qu'il doit être de 22 sur 6!! Je prends alors conscience que je vais en avoir plus qu'il n'en faut pour mon petit cul.
L'envie monte intensément en moi. L'envie de l'embrasser. L'envie de le sucer. L'envie qu'il me pénètre. L'envie de hurler de plaisir.J'ai le coeur prêt à m'arracher le torse à battre à ce rythme!

Je me penche sur lui pour déposer ma bouche sur sa queue géante. Jamais avant, je n'avais eu la bouche autant farcie... Pourtant avec Alexandre, j'avais appris à faire la félation façon "gorge profonde" et à bien remplir l'espace buccal (mais c'est une autre histoire...).La pression dans la cabine est au plus haut.

Au bout de quelques minutes, j'ouvre la porte et exhibe très fiérement ma "prise". LE mec bien monté du sauna! Je cherche la jalousie chez les autres petits minets qui errent en serviette de bain.A la vue de tous, je reprends mon activité. Je le suce. Les regards se tournent vers nous. Le public s'amoncelle devant la porte de al cabine. Cela m'excite au plus haut point. Mes lèvres et ma langue font un monstrueux va-et-vient sur cette queue gargantuesque. Lui et moi cherchons du regard si un mignon nous plait pour nous rejoindre. Mais nous ne trouvons personne à notre goût et les plus jeunes semblent trop farouches.
A force de se dispercer en cherchant qui passe à l'extèrieur, nos sexes s'appaisent et se ramolissent. Je me reconcentre et enfonce sa queue jusqu'au fond de ma gorge pour que tout revienne...
Ce mec parait connaître mes plaisirs et mes désirs. Il me met à tere, sur le dos. Il m'écarte les cuisses en me montant les pieds. Il me promet un plaisir extrème juste avant de coller son visage sur mon cul. Ce n'est pas un simple anulingus qu'il me fait. Il me bouffe littéralement! Sa langue s'enfonce au plus profond de mon corps. Il me semble qu'elle est aussi longue et dure que son sexe. Il ne me ménage pas et j'adore ça. Ca s'entend. Je ne peux m'empêcher de crier. Ma respiration est haletante. Je me moque que l'on m'entende dans tout le sauna ou même au-delà. Les autres n'en auront pas. Je ne veux pas partager ou amoindrir cet instant. Je veux épuiser mon étalon. Je veux qu'il m'épuise...

Mon fantasme m'obsède alors. Je tourne sur moi-même afin de lui attraper les pieds et de les lui lécher. Je me fiche de ce qu'il peut penser de moi. J'enfonce ma langue entre ses orteils, et les suce un à un. Il continue de s'occuper de mon petit cul. Mon plaisir est à son paroxysme. A la force de son travail, j'ai l'impression d'avoir l'anus plus ouvert encore que ma bouche!
Avec ma souplesse, il fait de moi ce qu'il veut. Il exploite toutes les positions possibles sans lâcher mon cul. Je me plie à toutes ses volontés.

Ses doigts commencent à remplacer sa langue. Je les sens s'enfoncer. Un puis deux, puis trois... Je suis sa chose. Je comprends bien qu'il me prépare pour une autre étape. J'ai déjà hâte. En reprenant la fellation, je mesure de la langue ce que je vais prendre dans un instant.
Je l'avait vu en rêvant de son corps sculpté et magnifique. Maintenant, je ne veux plus que sa bite.
Sa bite dans mon cul de salope!! Je n'attends plus que ça!!

...

mardi 7 avril 2009

Rencontres, flirts, sexe...

C'est un peu le cocktails de mes sorties bordelaises.
Je sors souvent. Pas assez à mon gout.
Je rencontre quelques mecs. Pas assez à mon gout.
Je flirte dans les bars et les boites. Pas assez à mon gout.
Je ..... Pas assez à mon gout.

Il y a celui qui s'approche doucement pour venir danser contre moi. Lorsque les peaux viennent à se toucher, je l'embrasse. Je sens alors le frisson qui glisse le long de la colonne vertébrale. La danse et le baiser s'alternent jusqu'à ce que la tension nous enivre et que les lumières nous coupent de notre isolement.
La suite se déroule alors dans l'appartement du monsieur. Quelques caresses sur un canapé. Vite abrégées afin de poursuivre sous les draps. Je commence par me laisser faire. J'ai besoin qu'on s'occupe de moi. Ça tombe bien, il prend les choses en main. Ainsi que mon corps!

Il y a celui au look plus que décalé. Je l'ai vu apparaitre tel une diva avec une mantille sur la tête pour protéger sa chevelure du vent, un pantalon qui laisse tout deviner de la maigreur de ses jambes, des petits mocassins (peut-être emprunter à sa mère). En m'approchant de cette diva, j'ai vu son maquillage: un teint lisse et soyeux déjà au regard, une bouche pulpeuse et brillante. Je lui tiens la main. Étonnante main à la peau plus douce qu'une pêche. Que fait-il pour cela? N'a-t-il jamais rien tenu entre ses doigts sinon un pot de crème de chez Sisley? La diva a une culture époustouflante. Elle est intarissable sur tous les sujets.
Entre sa beauté, sa douceur, son raffinement et sa culture, son aristocratie ne fait aucun doute.

J'ai aussi rencontré le "beau gosse" dont la beauté n'a d'égal que son hypocrisie. Allumeur infatigable qui clame haut et fort qu'il est en couple et ne veut rien faire à l'encontre de celui-ci. A chaque fois qu'il en parle, je sens un appel en fond qui demande à ce que l'autre fasse le premier pas. Et il n'y a pas eu besoin d'une grande enjambée pour m'allonger sur lui, le déshabiller en l'écoutant me parler de sa fidélité à son ami.

Mais il y a également l'autre allumeuse! Celle qui danse comme une chatte avec un déhanché digne des acrobates chinois. Un garçon tout fin, aux yeux malicieux. En dansant devant lui, je m'imagine devant la vitrine de Cadiot Badie, sur les Allées Tourny, un dimanche en ne pouvant rien espérer de plus qu'une image alléchante.

Il y a plus particulièrement ce rockeur inclassable. Lui qui doute à chaque seconde de lui-même et qui est pourtant suivi par tout un monde. De l'allumeuse au beau gosse, de la diva à l'amant d'une nuit, ils sont tous là, juste derrière lui, à suivre et à écouter tout ce qu'il dira, tout ce qu'il voudra. Ce rockeur au charme débordant est un tombeur et pourtant aussi un éternel célibataire.

Bordeaux est une ville pleine de charme. Et de charmeurs. Sa population y est des plus variée.
A Bordeaux, j'ai un coup de coeur chaque jour...

samedi 14 mars 2009

Peut-être avec Vincent, peut-être avec toi... 2

Mais je ne te laisse pas longtemps avant de me diriger au creux de la taille, zone très sensible. C'est ici que je passe un peu plus de temps pour gouter chaque centimètre carré de ta peau. Ma bouche entière l'aspire. Ma langue la creuse. Ton corps se tord de plaisir.

Tu sens mon souffle chaud qui monte le plus lentement du monde à ton aisselle. Lieu magique du plaisir. Je pourrais y passer des heures. Je m'applique à faire monter la tension à son point le plus ultime.
Le frisson. Oui, je crois bien que c'est le frison que j'aime le plus chez toi. Lorsque ma langue effleure tout juste ta peau et que cette dernière est alors prise d'un sursaut et de petits tremblements.

Je me sens ivre et ne veux que partager cette ivresse. Je veux faire durer cette ivresse encore longtemps. Nous n'avons rien de presser sinon notre désir. Il m'appartient de le ménager. De l'attiser autant que de le freiner afin de pouvoir te tenir encore un long moment ainsi, à ma merci, nu sous mon corps.

Oui, tu es nu. Et seule une petite bougie de la table de salon nous permet de nous entrevoir. Les muscles de ton corps en sont encore plus beaux. Cette faible clarté venant du côté crée un relief des plus excitant sur toi....